A Luminous Halo

"Life is not a series of gig lamps symmetrically arranged; life is a luminous halo, a semi-transparent envelope surrounding us from the beginning of consciousness to the end." --Virginia Woolf

My Photo
Name:
Location: Springfield, Massachusetts, United States

Smith ’69, Purdue ’75. Anarchist; agnostic. Writer. Steward of the Pascal Emory house, an 1871 Second-Empire Victorian; of Sylvie, a 1974 Mercedes-Benz 450SL; and of Taz, a purebred Cockador who sets the standard for her breed. Happy enough for the present in Massachusetts, but always looking East.

Thursday, January 17, 2008

Happy Birthday Françoise Hardy

Today is the 64th birthday of Françoise Hardy, the French pop singer of the '60s and '70s. She was the Madonna of her time, eclipsing all other female singers of the era. Unlike Madonna, however, she was--and is--universally beloved.

It didn't hurt that she was possibly the most beautiful woman in France, a talented singer and composer, and, for all that, seemingly unaware of her specialness. She projected an air of sweetness and vulnerability: a musical Audrey Hepburn. Her first hit, "Tous les garçons et les filles" is about watching everybody else her age paired up, while she herself had no one to love her. She wrote it from personal experience.

When Françoise Hardy sang, she looked straight at the camera or the audience. You couldn't shake the feeling she was singing just to you. How many men must have wanted to jump up and proclaim, "I love you, Françoise! I love you!"

Françoise Hardy is married to talented musician Jacques Dutronc. They have one son, Thomas Dutronc, himself a very cool jazz musician. Françoise Hardy famously collaborated at one point with Michel Berger. Here's a song she wrote with him, called Message Personnel:

Au bout du téléphone
Il y a votre voix
Et il y a des mots
Que je ne dirai pas
Tous ces mots qui font peur
Quand ils ne font pas rire
Qui sont dans trop de films
De chansons et de livres
Je voudrais vous les dire et je voudrais les vivre
Je ne le ferai pas,
Je veux, je ne peux pas
Je suis seule à crever, et je sais où vous êtes
J'arrive, attendez-moi, nous allons nous connaître
Préparez votre temps, pour vous j'ai tout le mien
Je voudrais arriver, je reste, je me déteste.
Je n'arriverai pas,
Je veux, je ne peux pas.
Je devrais vous parler
Je devrais arriver
Ou je devrais dormir.
J'ai peur que tu sois sourd
J'ai peur que tu sois lâche
J'ai peur d'être indiscrète
Je ne peux pas vous dire
Que je t'aime peut-être.

Mais si tu crois un jour que tu m'aimes
Ne crois pas que tes souvenirs me gênent
Et cours, cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver
Si tu crois un jour que tu m'aimes
Et si ce jour-là tu as de la peine
A trouver où tous ces chemins te mènent
Viens me retrouver
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S'installe en toi
Pense à moi, pense à moi.

Mais si tu crois un jour que tu m'aimes,
Ne le considère pas comme un problème
Et cours, et cours jusqu'à perdre haleine
Viens me retrouver.
Si tu crois un jour que tu m'aimes
N'attends pas un jour, pas une semaine
Car tu ne sais pas où la vie t'emmène
Viens me retrouver.
Si le dégoût de la vie vient en toi
Si la paresse de la vie
S'installe en toi
Pense à moi, pense à moi.

Mais si tu...

Labels: , , ,